1. "La surimpression prend sa source dans le monde mental. Elle reflète, comme lui, la simultanéité des pensées. Les images ainsi produites, addition de deux images, restituent des fragments de ce qui n'a pas changé et tendent vers une nouvelle continuité se rapprochant de mes images intérieures. L'image vient de surgir et de naître avec ses deux composantes, et déjà s'amorce sa décomposition, image offerte à l'usure du temps, l'érosion, la décomposition corporelle. L'image montre et efface ce qu'elle montre simultanément, tandis qu'elle-même est à la fois évidente et évanescente."